jeudi, février 27, 2014

A PROPOS DE L'ASSOCIATION "AC GENOCIDE CIRIMOSO"


Quelques faits de base 

AC Génocide Cirimoso est une organisation sans but lucratif basée au Burundi. De manière générale, les activités d'AC Génocide Cirimoso sont destinées à lutter contre le génocide en entretenant la mémoire vigilante contre le “crime des crimes”et en œuvrant pour le jugement de ses auteurs. AC Génocide Cirimoso collabore étroitement avec AC Génocide Canada, une association de droit canadien qui affirme dans ses statuts qu'elle partage les objectifs d'AC Génocide Cirimoso et qui, de ce fait, en relaie les activités au Canada et dans le monde. 

Les effectifs d'AC Genocide Cirimoso ne peuvent pas être présentés de manière exacte. Depuis l'accession au pouvoir du CNDD-FDD, l'organisation qui a commis le gros du génocide contre les tutsi, il a été constaté qu'avec les exactions impunies des miliciens de ce parti, les Imbonerakure, certains membres cédaient à l'intimidation. Aussi, a-t-il été décidé de ne plus tenir de registre de membres pour des raisons évidentes de sécurité des membres

1. Les activités principales de l'association AC Génocide

Sur le plan politique

L'activité principale d'AC Génocide Cirimoso est de mener une plaidoirie soutenue pour les victimes du génocide. Elle pétitionne régulièrement les pouvoirs publics. Elle émet régulièrement périodiquement des mémoranda sur l'état des rescapés du génocide qui, dans leur très grande majorité, sont des laissés pour compte. Il faut rappeler à ce sujet que le parti au pouvoir au Burundi est le CNDD-FDD, c’est-à-dire, la même organisation que les Nations Unies a identifié comme ayant conclu un accord de cooperation avec les Interahamwe et les ex-FAR (les Forces armees Rwandaise d'avant 1994) pour continuer le Génocide contre les tutsi du Burundi d'abord, puis ceux du Rwanda. C’etait dans le Rapport S/1998/777 adressé au Conseil de Sécurité par le Secrétaire Général.


Trois fois par an, AC Génocide Cirimoso organise des descentes sur terrain à l'intérieur du pays afin de se recueillir sur les principaux sites du génocide. Il s'agit notamment du 21 octobre où la commémoration a lieu à Kwibubu dans la Province de Gitega, à l'endroit où les élèves tutsi du Lycée de Kibimba furent rassemblées et brûlés vifs sous la supervision de leur Directeur. Il s'agit aussi du 20 juillet où la commémoration a lieu à Bugendana, toujours dans la Province de Gitega, sur un site où reposent les restes de 648 victimes tutsi, le premier lot avait été tué en octobre 1993 par les miliciens du FRODEBU, le deuxième lot est celui des rescapées d'octobre 1993 qui avaient élu domicile sur le lieu même d'enterrement des leurs et qui y furent assassinées en juin 1996 par les miliciens du CNDD-FDD (cette organisation qui est actuellement au pouvoir, avait attaqué ces rescapés dans le cadre de son agenda de faire disparître les témoins. Il s'agit enfin des 30 avril, date à laquelle la commémoration a lieu à Buta, une école du sud du pays où, en 1997, les miliciens du CNDD-FDD attaquèrent le Petit Séminaire qui s’y trouve  et y tua les élèves parce qu’ils avaient refusé de se séparer sur base ethnique afin de laisser cette milice massacrer les seuls tutsi comme elle le faisait partout aileurs. À cette commémoration, comme à toutes les autres, …

AC Génocide Cirimoso fait des déclarations solennelles régulieres par écrit. C’est le cas des communiqués  officiels émis par l’association quand il y des actes de persécution à l'encontre des rescapés du génocide. C'est aussi ce que fait AC Génocide Cirimoso fait quand les pouvoirs publics prennent une décision qui va dans le sens de la négation ou de l'occultation du génocide. Par exemple, depuis 2005, date à laquelle une Mission des Nations Unies au Burundi venu pour préparer ensemble avec le gouvernement la faisabilité d'un Tribunal Pénal International pour le Burundi ait conclu à une Chambre Spéciale au Sein de la Magistrature Burundaise, AC Génocide Cirimoso a déclaré solennellement qu'une telle mesure prive définitivement les rescapés de la possibilité d'obtenir justice, car le CNDD-FDD au pouvoir ne peut pas être juge et partie : étant l'auteur de ce génocide et donc l'accusé principal, ce parti ne peut pas faire partie d'un quelconque organe destiné à enquêter ou à juger le crime qu'il a lui-même commis.


Sur le plan social

AC Génocide Cirimoso organise régulièrement des sessions de commémoration en vue d'entretenir et de cultiver la mémoire vigilante. L'association mène aussi une campagne soutenue de sensibilisation contre ce fléau du génocide. 

Au 21 de chaque mois, date du début du génocide des tutsi en octobre 1993, AC Génocide Cirimoso réunit les membres et sympathisants pour une séance de recueillement et de réarmement moral, occasion de se réconforter mutuellement entre membres, surtout que beaucoup d'entre eux sont des rescapés du génocide et que la plupart ont perdu les leurs à cause de ce crime.

AC Génocide Cirimoso collecte des aides aux rescapés les plus démunis, les plus touchés par la campagne de spoliation menées par le pouvoir et les miliciens Imbonerakure, la section jeunesse de l'organisation au pouvoir, le CNDD-FDD.

AC Génocide Cirimoso apporte également des conseils juridiques aux rescapés qui sont dans les camps de déplacés où ils ne cessent de se faire violenter et évincer par la police aidée en cela par la jeunesses du parti au pouvoir appelées Imbonerakure [nous y reviendrons plus loin dans le volet violence]
AC Génocide Cirimoso organise chaque année, un tournoi de Basket ball dénommé Coupe de la Mémoire Vigilante. Ce tournoi rassemble les meilleures équipes du Burundi. Pendant une semaine, ces équipes se livrent des matches pour déterminer le gagnant de la Coupe de la Mémoire Vigilante.


2. Rapports entre AC Génocide et le pouvoir CNDD-FDD

En général, les membres d'AC Génocide sont hais par le régime CNDD-FDD et de  fait, subissent de celles-ci des mauvais traitements sous diverses formes. Aussi, serait-il illusoire de prétendre énumérer tous les actes de violence et de discrimination ou de diabolisation que subissent les membres d' AC Génocide Cirimoso depuis le début du régime CNDD-FDD en 2005. Ce que nous livrons ci-dessous n'est qu'une infime partie des plus spectaculaires de ces actes.

2.1. Violences physiques perpétrées contre AC Génocide par le pouvoir


- Le 29 avril 2006, à l’occasion de la commémoration du genocide de 1972, alors qu'AC Génocide Cirimoso se rendait au Monument du Soldat Inconnu pour y déposer une gerbe de fleurs, ses membres furent attaqués d’assaut par la police qui se mit à bastonner les participants. Plusieur membres de la direction de l'organisation furent détenus pendant des jours, ils furent relâchés mais aucun de leurs agresseurs ne fut inquiétés.


- Mai 2006, AC Génocide Cirimoso a organisé à Gitega, la deuxième ville du pays, une conférence de suivi d'un compte-rendu d'une communication qu'avait livrée Charles Mukasi, un membre éminent d'AC Génocide Cirimoso, lors de la deuxième conférence sur le génocide tenue à l'Univeriste de Sacramento. Il y était question de vulgariser les tenants de l'ideologie du génocide qui est, soit dit en passant, le ciment qui unit les parti FRODEBU (au pouvoir lors du génocide d'octobre 1993), le CNDD-FDD actuellement au pouvoir et qui se trouve être une création du même FRODEBU. A la suite de cette conférence de Gitega, troiss membres du Comite Executif d'AC Génocide Cirimoso, à savoir, Tatien Sibomana, Popon Mudugu et son épouse Aline Ngendankazi, furent incarcérés pendant plusieurs jours dans les cachots de la police de Gitega.

- En 2008, le gouvernement a ordonné la destruction complète du camp pour rescapés du génocide situé à Tankoma à lapéripherie de la ville de Gitega; comble de cynisme, on les a chassé de leurs campements afin qu'on y érige le siège princial du parti CNDD-FDD, celui-là même qui a commis le génocide dont on pourchasse les rescapés !


- En janvier 2013, les Imbonerakure (les miliciens du parti au pouvoir) en provenance de Muhanga dans la province de Kayanza, ont attaqué les rescapés tutsi du génocide de 1993 vivant en commune Ruhororo dans la province de Ngozi, celle du Chef de l'Etat. Ces miliciens ont eu une complicité de la police. Des policiers étaient en poste sur les lieux, mais ils n'ont pas daigné intervenir quand ces rescapés leur ont demandé de désarmer un civil en possession d'un fusil, parmi les miliciens armés de gourdins, de bâtons et de machettes. Les Imbonerakure ont lancé 3 grenades vers un groupe de rescapés.

- Le 24 février 2014, la police burundaise a attaqué le camp des rescapés du génocide de Ku Mase, situé sur la lisière nord-ouest de la capitale Bujumbura-Gatumba. La police a fait deux morts (deux enfants) et des blessés graves parmi les habitants de ce site. Elle a brûlé vif plusieurs animaux domestiques appartenant aux rescapés, mais aussi et surtout, elle a détruit la totalité de leurs habitations faisant ainsi d'eux sans-abris ( Radio Publique Africaine, édition rundi de la mi-journée du ce 24 février 2014). Cette attaque s'inscrit dans la ligne d'une campagne soutenue lancée par l'organisation terroriste et génocidaire, CNDD-FDD, au pouvoir depuis 2005.

2.2. Diabolisation et persécution des membres d’AC Génocide 

- En 2007, Dr. Lothaire Niyonkuru, membre du comité exécutif d'AC Génocide Cirimoso Professeur de Linguistique à l'Universiteé du Burundi, a subi une série de calomnies de la part de l'organe d'expression du parti au pouvoir, le journal paraissant en Kirundi www.intumwa.org publia une série d'articles mensongers prétendument rédigés par Dr. Niyonkuru, tout cela dans le vilain dessein de le discréditer auprès de l'opinion publique

- En 2010, un membre très influent d'AC Génocide fonctionnaire de la Mairie de Bujumbura, reçoit une série de menaces non fondées de la part de ses supérieurs administratifs. À cause de son appartenance à AC Génocide Cirimoso Cirmoso, on lui écrit répétitivement des lettres de réprimande, et il finit par recevoir un certain nombre des suspensions sans paye, tout cela dans le but de le décourager d'être acif dans l'association AC Génocide Cirimoso .

- En avril 2011, lorsque AC Génocide Canada organisa une conférence intitulée « "Témoignages et archives pour contrer la montée du négationnisme" » à l'occasion de la commémoration des victimes de cette barbarie ainsi que de celle de 1972, un certain Frederic Nzeyimana, Président de la CBCA Inc. Toronto, une organisation de droit canadien mais très proche du réme CNDD-FDD, oenvoya un message à la "communauté zaïroise" et à tous les médias une note accusant injustement et faussement le conférencier, Emmanuel Nkurunziza, d'être le gendre de Simbananiye Arthemon, un Ministre des Affaires étrangères qu'une certaine opinion accuse d'être l'auteur des massacres de hutu en 1972. En outre, il est accusé  au conférencier d'être tutsi, comme si cela était un crime aux yeux du Président de la CBCA Inc. Toronto ! 
Bien évidemment Simbananiye Arthémon n'est pas le beau-père du conférencier, mais le mensonge était destiné à faire qualifier Emmanuel Nkurunziza de parent de quelqu'un soupçonné de crimes contre l'Humanité. D'autre part, depuis que le Zaïre est redevenu le Congo, il n'existe plus de communautés zaïroises au Canada ni nulle part ailleurs . Mais cette référence au Congo est lourde de sens, car le racisme et les violences contre les Tutsi, au Canada, notamment, sont entretenus sous le couvert de vrais ou faux lobbies congolais notamment à travers des manifestations supposées contre l'envahisseur Tutsi ; la chasse méthodique contre les Tutsi dans les bistrots du Canada où les auteurs ont à plusieurs reprises provoqué des bagarres faisant parfois des blessés graves, comme ce fut le cas à Toronto en 2011 où des Somaliens qui se trouvaient dans un bar ont été pris pour les Tutsi et attaqués à l'arme à feu.

Bien entendeu, l'auteur de cette désinformation est en mission commandée du Burundi.


- Entre 2012 et 2013, Monsieur Terence Mushano, le porte-parole d'AC Génocide Cirimoso, a subit des harcèlements de la part de l'administration de la compagnie étatique de gestion de l'aéroport de Bujumbura SOBUGEA. Les autorités de cette compagnie voulaient à tout prix que Monsieur Terence Mushano renonce à son mandat représentant des travailleurs au Conseil d'Administration de l'entreprise, mais comme il jouissait de beaucoup d'estime et de soutien de la part de ces collègues, il a tenu tête. 

On notera à cet égard que même le président d'AC Génocide Cirimoso, Venant Bamboneyeho, ne doit sa tranquillité qu'à la nature libérale de sa profession: en tant que professeur d'université jouissant d'un statut permanent, il est hors de la portée des pressions des pouvoirs publics qui, normalement, harcèlent incessamment les membres dirigeants de notre organisation AC Genocde .

- En décembre 2013, la police profite de l'absence du pays du Trésorier d'AC Génocide, Monsieur Serge Kananiye, pour effectuer une prétendue fouille perquisition. Il faut noter que cette opération était complètement illégale étant donné qu'elle a été effectuée en l'absence du concerné. Comme de tradition, le pouvoir en place y a introduit des armes afin de pouvoir accuser la victime. Monsieur Serge Kananiye qui se trouvait à l'étranger, s'est vu contraint à rester en exil depuis ce jour. 

Le vrai motif de ce montage était que, quelques mois auparavant, dans un forum des associations des victimes des actes de violence (CARAVI ou collectif des associations des rescapées et des victimes)où il était question de faire des suggestions quant à la forme de la Commission Vérité et Réconciliation (CVR), Monsieur Serge Kananiye qui y représentait AC Génocide Cirimoso avait averti les participants de la futilité de prétendre mettre sur pied une CVR dénudée d'un volet justice. L'observation de Kananiye allait dans le sens inverse de l'idée que les représentants du pouvoir CNDD-FDD avait voulu faire adopter à tout prix au sein de ce forum.


2.3. Diabolisation de l'organisation AC Génocide Cirimoso


Il y a une propagande soutenue visant à faire apparaitre AC Génocide Cirimoso comme étant une organisation tutsi. En réalité, les propagandistes du pouvoir, lorsqu'ils parlent des Hutu et des Tutsi, c'est pour permettre aux criminels de ne pas subir les rigueurs du droit et de ne pas rendre justice aux victimes. AC Génocide Cirimoso est donc régulièrement accusée d'être Tutsi ou de défendre les Tutsi. Meme si ces accusations sont fausses; pour les non-connaisseurs, elles gardent le potentiel de discréditer les engagements de l'association. En procédant de la sorte, le régime, qui est aux mains de l'organisation CNDD-FDD, qui joue la carte ethnique hutu chaque fois qu'il a besoin de rallier la majorité
Dans d’autres circonstances, le pouvoir mobilise parfois l'opinion tutsi contre AC Génocide Cirimoso. En effet, AC Génocide Cirimoso a endossé dès les premières années de son existence, les résolutions de l'enquête Internationale des Nations Unies qui non seulement a conclu, dans son Rapport S/1996/682, qu'il y a eu génocide contre les tutsi, mais aussi a recommandé qu'une enquête internationale soit menée sur les tueries de 1972. Ainsi, le reégime CNDD-FDD, par le biais des média qui lui sont affiliées, présente AC Génocide Cirimoso comme une association soutenant la poursuite judiciaire contre les anciens dignitaires tutsi. Ceci est fait sciemment par le pouvoir pour aliéner AC Génocide Cirimoso de ses membres tutsi. Or, même si AC Génocide Cirimoso est présenté par le pouvoir comme étant une organisation qui défend des intérêts sectaires (tutsi ou hutu, selon l’audience et les calculs des calomniateurs), la réalité est que, dans ses objectifs, AC Génocide Cirimoso s'est donné la mission de pourvoir à la réhabilitation matérielle des rescapés du génocide sans discrimination aucune. Certes, compte tenu du fait que les génocidaires visaient les tutsi d’abord, auxquels ils ont ajouté les hutu non acquis à cette odieuse idéologie, il est indéniable que les rescapeés sont dans leur plus grande majorité des tutsi.


Dans cette optique que lorsque AC Génocide Canada organisa en octobre 2010 a Toronto une journée commémorative du génocide. Le média de la haine Burundi-agnews taxa AC Génocide Canada d'etre une organisation d'extrême droite tribaliste hima burundaise et ses membres d'être des enfants de la dictature » [en référence aux anciens régimes militaires du Burundi].

2.4. Discrimination à l'encontre d'AC Génocide


AC Génocide fait l'objet d'une discrimination soutenue de la part des média gouvernementaux. L'espace médiatique relevant directement ou indirectement du pouvoir, par exemple, la Radio-television nationale, de même que les publications du gouvernement (les quotidiens Le Renouveauparaissant en français ou Ubumwe paraissant en kirundi, ne reprennent jamais les déclarations d' AC Génocide Cirimoso. Ils ne mentionnent pas non plus les activités régulières qu'organise cette association.

Quant aux média affiliés au parti au pouvoir (Intumwa paraissant en Kirundi, Nyabusorongo, journal en ligne rédigé en français, ils ne mentionnent jamais AC Génocide c'est pour le calomnier et le présenter comme une « organisation tutsie », « une organisation d'extrême droite », « une organisation des nostalgiques de l'Ancien Régime»». Tout cela se passe au vu et au su du Conseil National de la Communication qui n'a jamais levé le petit doigt pour rappeler les média concernés face à ce dérapage.


- En 2013, une conférence académique internationale (regroupant des chercheurs du Burundi, du Rwanda et de la République Démocratique du Congo) qui devait avoir lieu à l'Université du Burundi a été annulée suite aux pressions médiatiques de ces journaux gouvernementaux et pro-CNDD-FDD. Outre le thème, le motif de l'annulation de cette conference était que un des conférenciers serait le Professeur Venant Bamboneyeho, Président d'AC Génocide . Il ne faut perdre de vue le fait que le pouvoir en général, et le parti CNDD-FDD en particulier, sont particulièrement allergiques au rappel incessant que fait AC Génocides à l'opinion tant nationale qu'internationale, sur le fait que les auteurs du génocide contre les tutsi du Burundi n'ont jamais été jugés malgré les rapports des commissions d'enquête des Nations Unies qui le prouvent à suffisance.
- En 2013, alors qu' AC Génocide Cirimoso avait participé aux côtés d'autres organisations membres du CARAVI (collectif des associations des rescapées et des victimes) oeuvrant pour l’intérêt des rescapés, pour préparer entre autres choses les représentants à envoyer en Europe dans une conférence organisée par l'ONG Impunity Watch. Tous les groupes avaient unanimement désigné le président d' AC Génocide Cirimoso pour qu'il les représente à cette conférence. Néanmoins, le pouvoir execercera une pression sur les organisateurs qui finirent par inviter une autre personne non-membre d' AC Génocide Cirimoso et ce sans qu'aucune explication ni avertissement ne soit fournie à AC Génocide Cirimoso .




Références:

Burundi AG news http://burundi-agnews.org  
 - Intumwa   http://intumwa.org/
Le Renouveau  http://ppbdi.com/
 - Net Press www.netpress.bi
 - Nyabusorongo http://nyabusorongo.org/  
 - Radio Publique Africaine http://rpa.bi/
Ubumwe http://ppbdi.com/